SENS ET SIGNIFICATION DES RITES FUNERAIRES. DOUBLE FINALITE DES RITES FUNERAIRES. Louis-Vincent THOMAS. Extrait d’un congrès à la Société de Thanatologie.

 
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– PSYCHOSOCIOLOGIE
DE LA MORT.
 
Nous venons donc maintenant à une approche plus concrète des conduites funéraires et nous reprendrons les grandes lignes de l’ouvrage que Louis-Vincent  THOMAS a commis récemment sous un titre qui se veut suggestif : Rites de mort pour la paix des vivants.
Malgré leur disparité dans le temps et dans l’espace ces conduites obéissent à des constantes universelles avec des justifications qui varient selon les cultures. On peut les lire à deux niveaux. Au plan du discours manifeste, leur signification est claire : il faut régler le devenir du mort en composant avec l’abjection de la pourriture tout en favorisant son accession à un statut de survie potentielle (qui n’est pas forcément d’ordre métaphysique : ce peut-être… la pierre du cimetière ou le souvenir dans la mémoire des proches). Donc, les gens disent et croient que le destinataire du rite est le mort. Mais cette ritualité  qui se veut au service du défunt n’est pas sans ambivalence. Au plan du discours latent, on peut y reconnaître un versant défensif qui répond aux mécanismes fort embrouillés que l’imaginaire s’invente pour esquiver l’angoisse. Le sens profond, la fonction fondamentale des rites funéraires ne concernent sans doute que l’homme vivant, individu ou communauté : il faut maîtriser symboliquement la mort pour sécuriser, pour guérir et prévenir. Ces rites manifestent un désir éperdu de pallier la mort, de la dépasser, somme toute de la nier.
En définitive, se sont des rites de la vie. Leur finalité revêt de multiples visages : déculpabiliser, réconforter, revitaliser, espérer… Mais voyons les choses de plus près.
Les constantes qu’évoque Louis-Vincent- THOMAS, se retrouvent à des degrés divers dans la tonalité des rites dont le mort est l’objet. Il distingue, un peu artificiellement peut-être car il arrive qu’ils se chevauchent, les rites d’oblation et les rites de passage.
 
Les rites d’oblation englobent les manifestations de  sollicitude et de prévenance qui s’adressent à celui qui vient de mourir. L’imaginaire s’obstine à voir dans le corps inerte l’être toujours là et s’efforce de le retenir en multipliant les marques de respect et d’amour. La toilette mortuaire, fait quasiment universel, illustre bien cette intention d’exprimer les égards dus à la personne du disparu et de prolonger la relation avec lui. Au contraire, salir ou malmener un mort, comme ce fut le cas d’Achille s’acharnant sur la dépouille d’Hector, équivaut à le nier en tant que personne, à le tuer à jamais en le privant de survie.
 
Texte Louis-Vincent THOMAS.
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– PSYCHOSOCIOLOGIE
DE LA MORT.

 
 
Traditionnellement, la toilette mortuaire a un double but : conférer au mort les apparences de la dignité et le purifier pour préparer sa renaissance – ceci au plan du discours manifeste évidemment. Les manipulations sont en général confiées à des mains féminines pour être accomplies avec une délicatesse maternelle. Dailleurs en maints endroits, l’accoucheuse est en même temps ensevelisseuse et se charge de ce qu’on peut appeler le maternage du mort ("il ne faut pas le blesser" dit-on en Afrique, ni dans son corps par des gestes brusques, ni dans sa dignité en dévoilant sa nudité à n’importe qui). Louis Vincent THOMAS passe très vite sur les apprêts compliqués qu’exigeaient certaines traditions pour signifier symboliquement la renaissance dans l’au-delà… Chez nous, la thanatopraxie qui est l’équivalent moderne et technicisé de la toilette mortuaire, n’a rien à voir avec ces préoccupations métaphysiques et cette charge symbolique (précise Louis Vincent THOMAS au passage que les Français ont recours aux soins thanatiques spécialisés pour 15 % de leurs morts). Pour sa part, Louis Vincent THOMAS, ne doute pas que, dans l’esprit des proches qui le demandent, ce traitement exprime la déférence et la sollicitude qu’ils portent au défunt ; comme pour la toilette traditionnelle, il s’agit d’effacer les signes qui feraient injure à sa personne.
De même, on le veut douillettement installé dans le nid capitonné de satin que représentent les riches cercueils modernes avec les dentelles et les couleurs tendres, certains revêtements n’évoquent-ils pas le berceau ?, ce qui renvoie confusément au maternage et à la renaissance. La présentation du mort est d’ailleurs une autre manière de le retenir. C’était, dans les civilisations traditionnelles, l’occasion de lui témoigner de l’affection et du respec par de nombreux rites d’oblation On sait l’importance de la veillée funèbre dans nos campagnes d’autrefois : prières, silence recueillis mais aussi conversations plus ou moins animées et libations auxquelles le mort était symboliquement associé. Et, dans les sociétés archaïques, il n’est pas rare que le défunt préside lui-même ses funérailles : on l’interpelle, on chante ses louanges, on danse pour le divertir ou l’honorer, on le console, on l’encourage, on lui confie des messages… De ces pratiques ancestrales, il ne reste guère aux citadins
de nos villes modernes que quelques visites fugitives au funérarium – ou, pire, à la morgue de l’hôpital. Nul rituel codifié ne vient au secours de ceux qui vivent là l’ultime relation avec celui qu’il ont perdu ; la neutralité du décor n’est pas propice auxépanchements ; la fausse pudeur, l’acharnement à fuir la mort limitent ou empêche l’expression spontanée d’un rite d’adieu. Et pourtant, ces derniers contacts, paroles ou étreintes seraient grandement bénéfiques pour le déroulement du deuil.
Cette allusion à l’équilibre du survivant fournit à Louis Vincent THOMAS la transition pour envisager maintenant l’autre versant du rite, non plus ce que traduit le discours manifeste qui prend en compte l’intérêt du mort, mais ce qu’on peut décrypter dans le discours latent concernant l’intérêt des vivants.
 
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DE LA MORT.
 
 
Les rite de tenue du mort, soins du corps, veillée funèbre, présentification (un néologisme que  Louis Vincent THOMAS propose pour insister sur le décorum qui accompagne l’exposition du défunt), tous ces rites ont pour effet de retarder la séparation. En effet, seule, la raison peut distinguer un avant et un après de la mort tandis que l’imaginaire refuse d’intégrer la rupture et continue de voir dans celui qui vien de mourir quelqu’un qui n’a pas encore quitté la vie. Ce fantasme universel se lit clairement dans les croyances archaïques : on pense que l’âme du mort demeure un certain temps aux abords du cadavre ou dans la maison mortuaire avant de s’acheminer dans l’au-delà : les Toradja des îles Célèbes disent poétiquement que, de même que "la torche s’éteint tout doucement, il faut beaucoup de temps pour mourir".
Mais quelle que soit la justificationalléguée, les rites de retenus du mort procèdent du désir d’atténuer le traumatisme de la perte, donc de ménager les proches affligés. En outre, les soins au cadavre donnent de la mort une image magnifiée – image toute proche de l’image de la vie dans le cas de nos techniques modernes. Et cela nous rassure quant à l’éventualité de notre propre mort.
Mais il y  a plus. Freud à montré que la peur  ne va pas sans un sentiment de culpabilité qui justifierait l’agressivité dont on se sent l’objet. C’est vrai que la mort- sanction est une conception fort répandu (c’est celle de la mythologie chrétienne qui met en cause le péché originel).
Or, lors de la rencontre avec le cadavre qui fait horreur, la répulsion qu’il inspire est vécue comme le danger d’une contamination : son inertie, les signes de la décomposition qui s’annonce (tâches,relents) font croire à l’agressivité du mort. Il est absolument patent dans les conduites funéraires dites "primitives" qu’on ne néglige rien pour apaiser le mort, lui prouver qu’on l’aime et qu’on le respect, pour l’aider à partir en beauté ; c’est d’ailleurs pour qu’il se rende bien compte de tout ce qu’on fait pour lui qu’on lui fait présider ses funérailles. Quant aux rites de purification, s’ils sont obligatoires pour permettre l’accession du défun dans l’au-delà ; ils n’en constituent pas moins des conduites défensives pour circonvenir la mort et éviter la propagation de l’impureté qu’elle représente.  Même la veilléée funèbres est ambivalente.
Les Diola de Casamance, au Sénégal – ils ne sont pas les seuls en Afrique – disent qu’il ne faut pas abandonner le mort à sa solitude, qu’il faut lui tenir compagnie mais aussi le surveiller pour contenir son agressivité.
Malgré les apparences, notre culture rationaliste ne nous a pas délivrés totalement de ces fantasmes vieux comme le monde. Entourer le défunt de prévenances, exiger que son aspect soit décent, demeurer de longs moments à ses côtés sont autant de preuves d’amour qui déculpabilisent le survivant. Car la mort de l’autre ne va pas sans l’inconfort de la faute qu’on croit commise à son égard : on est coupable de lui survivre d’abord, coupable aussi, sans doute, d’avoir désiré sa mort dans un moment de hargne. Quant à la thanatopraxie qui a remplacé la toilette traditionnelle ne faut-il pas y voir, même en marge de la ritualité, une authentique conduite d’évitement pour rassurer les vivants ?  L’une et l’autre satisfont l’imaginaire en endiguant la pourriture, sybole de la néantisation de la personne.
Asepsie réelle ou purification symbolique, l’important est d’effacer la souillure de la mort pour apaiser nos peurs.
 
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DE LA MORT.
 
2 – LES RITES DE PASSAGE
 
Les rites de retenue du mort dont  Louis Vincent THOMAS vient de parler n’étaient en quelque sorte que les préliminaires des funérailles.
Le but propre de celles-ci est en effet de consacrer la séparation du mort et des vivants et d’assurer son intégration dans un statut post-mortem.  Ce schéma séparation-intégration, avec entre deux une période de marge plus ou moins longue, caractérise tous les rites de passage, aussi bien les rites funéraires que les rites d’initiation, de naissance, de mariage, etc…
Voyons comment, au gré des étapes du rituel, s’oriente le devenir du mort, son devenir réel puisqu’il faut éliminer le cadavre mais surtout son devenir symbolique tel que l’invente l’imaginaire collectif. 
Nous avons vu que, dans les société traditionnelles, les rites de maternage et de purification implique le départ imminent et sont accomplis comme devant favoriser l’ancheminement et l’intégration de l’âme dans l’au-delà. En Afrique, à un certain moment du rituel, il est courant qu’on signifie ouvertement son congé au défunt. Il faut "tuer le mort" disent les Mosi du Burkina Faso, indiquant par là qu’il faut éliminer tout ce qui subsiste de ses liens avec le monde des vivants. Chez les Diola du Sénégal, la tradition voulait même qu’on feigne de lui briser une jambre de lui crever les yeux pour être sûr qu’il ne revienne pas hanter les vivants. Et dans beaucoup d’ethnies, le cadavre est emporté selon des voies sinueuses et entortillées pour égarer l’âme. Mais dans nos campagnes aussi certaines conduites de rejet ont subsisté longtemps: dans l’Isère par exemple,
on jetait des pierres sur le cercueil descendu au fond de la fosse. 
Toutefois, dans nos sociétés individualistes où les relations interpersonnelles prennent le pas sur la vie communautaire, le rejet du mort est vécu comme un renvoi inévitable et pathétique. La séparation s’effectue par paliers successifs et la progression dramatique est évidente au fur et à mesure que la présence se fait absence :  fermeture de la bière, levée du corps et départ de la maison mortuaire ; puis descente en terre ou enfournement dans le crématoire, moment déchirant qui signifie l’élimination physique du disparu. Le rite intervient, en principe, à chacune de ces étapes pour atténuer l’horreur de la séparation. Par exemple, les pleureuses corses s’accrochent au cercueil en gémissant afin de ménager le mort
en s’opposant à son départ. Plus près de nous, le rituel d’adieu a la même portée rassurante. "Qu’il soit purifié dans son âme et rejoigne au Ciel tous les Saints dans l’attente de la Résurrection des morts et la bienheureuse espérance de l’avènement du Christ" dit le prêtre catholique. Tandis que le rituel laïque exalte, dans les éloges funèbres, l’appartenance du mort à la communauté – maçonnerie, marxiste… – qui perdure par delà la mort.
 
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– PSYCHOSOCIOLOGIE
DE LA MORT.
 
Louis Vincent THOMAS, n’a pas le temps de s’appesantir sur la symbolique qui sous-entend l’élimination du cadavre inhumé
ou incinéré. Mais,  pour en terminer avec les rites de passage et le devenir du mort, il dira  quelques mots de la commémoration et des retrouvailles.
Selon le schéma que Louis Vincent THOMAS a rappelé, les rites de séparation sont suivis d’une période de marge qui, traditionnellement, correspond à la phase de deuil. Les deuilleurs, qui participent  au destin du mort, sont tenus de l’accompagner en se conformant à des rites complémentaires pour l’aider à parvenir à son statut final.
Des rites archaïques souvent complexes il ne nous reste guère que les messes dites pour les âmes du Purgatoire ou un discret culte du souvenir avec ou sans visites au cimetière. Puis, une fois dépassée la phase traumatisante du deuil, le défunt est récupéré dans l’imaginaire selon un statut positif. Il est promis à la vie éternelle parmi les justes aux yeux des chrétiens ; il est devenu ancêtre tutélaire pour l’animiste africain ; il est en attente de réincarnation pour le bouddhiste, ou, pour l’agnostique, il est fidèlement inscrit comme modèle dans la mémoire des survivants.
Autrement dit, par la magie de la symbolique et du rite, la mort est transfigurée en événement bénéfique et la vie repart rénovée et renforcée.
C’est en général ce que célèbre le rituel de commémoration qui marque, en même temps que l’intégration du défunt dans une forme de survie, la réintégration des deuilleurs. Le rituel revêt une importance extrême dans certaines sociétés archaïques : le filme malgache "Exhumation" d’Aimé Fournel en exemple qui se retrouve d’ailleurs à Bali et dans tout le sud-est asiatique. Chez nous, on a même oublié le "repas du bout de l’an" qui marquait autrefois la fin du deuil et l’avènement de l’ordre nouveau. Mais l’imaginaire moderne, en définitive, n’échappe pas à ces constantes fondamentales. Louis Vincent THOMAS rappelle à ce propos un rituel de commémoration auquel sa femme et lui-même ont été conviés il y a quelques années. Un an après la mort de leur ami Albert, sa veuve les a invités à une soirée pour célébrer son souvenir. Une soirée qui ne fut pas triste du tout, où ils ont bu et mangé tout en évoquant Albert, en revoyant ses diapos, en écoutant ses disques. C’était bien l’intégration du défunt dans la mémoire de ses amis et la réintégration dans la vie des deuilleurs consolés.
Tel est donc le sens de la ritualisation funéraire : inverser la mort en vie. Comme le disait un philosophe : "le rite est, comme l’élégance, une façon de charmer l’angoisse"
Mais Louis Vincent THOMAS, doit avant de conclure préciser rapidement par quels chemins les rites funéraires conduisent les survivants à l’apaisement. Il a retenu dans son ouvrage trois niveaux d’échappatoire qu’il se contentera d’évoquer.
 
* D’abord, puisque toute mort induit un sentiment de culpabilité, les rites funéraires sont l’occasion d’un rachat sybolique. Il semble que les survivants, et tout particulièrement les proches, ne puissent se libérer de l’emprise de la mort sans avoir acquitté le prix à payer. C’est aussi vrai pour les "primitifs" que pour nos contemporains qui vivent ce besoin d’expier comme un ensemble d’obligations à assumer. On tient à "faire ce qu’il faut" pour n’avoir rien à ce reprocher, pour se dédouaner à l’égard du mort dont on craint le souvenir obsédant. Lui faire un bel enterrement, assurer le chagrin de sa perte, entretenir son souvenir, autrement dit accomplir point par point les rites funéraires traduirait le désir d’être en paix avec le mort – et avec la mort.  Ce désir est si impérieux que, dans la société moderne, on n’hésite pas à compenser l’appauvrissement des rites en recourant à la fonction symbolique de l’argent : on ne lésine jamais pour enterrer ses morts, c’est bien connu.
 
* En second lieu. Louis Vincent THOMAS, attire l’attention sur la fonction communielle du rite, fonction bien mal en point 
notre culture où les obsèques se rétrécissent volontiers jusqu’à la "stricte intimité". Et pourtant, quand le rite funéraire mobilise la communauté et qu’il prend son sens dans l’exaltation de la vie, il constitue une thérapeutique souveraine. Louis Vincent THOMAS l’a vu dans les funérailles africaines où le groupe se régénère dans l’éclatement des individus, proclamant ainsi la cohésion et la continuité face à la rupture de la mort. Nous avions nous aussi, avec le repas funéraire, un rite de revitalisation dont on méconnait aujourd’hui le sens profond.
 
* Enfin, le rite funéraire s’inscrit toujours dans une symbolique marquée du sceau de l’espérance car elle implique une promesse de survie. Survie qui, comme Louis Vincent THOMAS l’a déjà dit, ne requiert pas forcément la croyance métaphysique. Le besoin d’espérer (d’annuler la mort) est si fortement enraciné dans la conscience que le commun des mortels parvient toujours à se bricoler quelque substitut de survie même en marge de la foi religieuse dans l’Un-Tout, dans les traces matérielles, dans la mémoire collective.
 
Louis Vincent THOMAS se contente maintenant de conclure sur un voeu pieux : il croit que le monde d’aujourd’hui n’a rien à gagner en oubliant ou en méprisant ses morts. Et il souhaite, non pas une réaction pour revenir en arrière, mais un sursaut d’humanisme pour inventer unenouvelle symbolique, arrière-plan indispensable à la mise en place des rites de demain. 
 
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